De ma fenêtre des voitures, défilé permanent
De ma fenêtre des murs de briques, des murs de pierres
De ma fenêtre es hommes debout, des hommes qui errent, des hommes qui courent, de la maison au travail, su travail à la maison.
De ma fenêtre, chaque soir, le ciel fou qui s’enflamme et la vie qui s’accroche.
Etudes à l’aquarelle en bas de la rue
De ma fenêtre, je te regarde , que de toi s’égare toi seuil n’y pourrait rien.